viernes, 1 de noviembre de 2013

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viernes, 18 de octubre de 2013

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viernes, 11 de octubre de 2013

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lunes, 7 de octubre de 2013

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miércoles, 2 de octubre de 2013

Armando Mantilla te envió una invitación

 
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sábado, 7 de septiembre de 2013

=?ISO-8859-1?Q?Activit=E9s autour de la culture andine =E0 Bruxelles?=

Madame, Monsieur,

Chers amis

 

C'est avec plaisir que vous vous invitons à découvrir quelques unes de nos prochaines activités: voyage à Macchu Picchu, groupe de micro-éparge, atelier de danses pour enfants, cours de quechua...

 

Au plaisir de vous compter parmi nos participants!

 

Luis Barbaran

El Andino

Institut de Culture Andine de Bruxelles

0484/62.72.70

www.elandino.be

info@elandino.be

Activité 1 : Voyage à Macchu Picchu et au Lac Titicaca

Partez en voyage avec nous à Macchu Picchu et au Lac Titicaca.

Nous vous proposons un circuit de 15 jours

au sein des communautés autochtones dans un contexte résolument différent!

Départ: Janvier 2014!

Séance d'information: Samedi 14 septembre à 10h00.

Inscrivez-vous à la séance d'information en envoyant un e-mail à info@elandino.be.

 


 

 

Activité 2 : "Groupe de Micro-épargne solidaire et alternatif"
Séance d'information: Samedi 14 septembre à 12h00
Inscrivez-vous à la séance d'information en envoyant un e-mail a info@elandino.be

 


 

 

Activité 3 : Cours de quechua

Au programme: Initiation à la culture andine et la langue quechua

Les samedis de septembre à décembre 2013 de 10h00 à 12h00

Début des cours: Samedi 21 septembre

Lieu: Rue du Fort 35 à 1060 Saint Gilles - De Pianofabriek

Frais: 80 euros

Pour vous inscrire envoyez votre nom, prénom et numéro de GSM à info@elandino.be

 


 

 

Activité 4 : Atelier de danses des Andes pour enfants

Les samedis de septembre à décembre 2013 de 14h00 à 15h00

Début de l'atelier: Samedi 21 septembre

Lieu: Rue du Fort 35 à 1060 Saint Gilles - De Pianofabriek

Frais: 60 euros

Pour vous inscrire envoyez votre nom, prénom et numéro de GSM à info@elandino.be

 


 

 

Activité 5 : Emission de radio "Vientos Andinos"

Chaque deuxième dimanche du mois.

Sur Radio Campus Latino 92.1 FM

Ou sur www.radiocapus.be

 Envie de faire partie de l'équipe de volonataire?

 Envoyez un mail à info@elandino.be

 


 

 

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jueves, 5 de septiembre de 2013

Solidarité avec le Tipnis

Solidarité avec les leaders indigènes du TIPNIS

2. Video : El TIPNIS  se respeta http://www.youtube.com/watch?v=v_UKfvHE60E
3. Français: La COICA condamne la criminalisation du mouvement autochtone
4. English: Criminal Charges Against Indigenous Leaders, Revelations of Police Infiltration Reignite TIPNIS Conflict
5. Español: Dirigentes del TIPNIS pidieron asilo político



La COICA condamne la criminalisation du mouvement autochtone

La Coordination des Organisations Autochtones du Bassin Amazonien (COICA) vient de publier une lettre de soutien à des dirigeants autochtones des Basses Terres de Bolivie contre lesquels  l'Etat bolivien a lancé un mandat d'arrêt pour n'avoir pas répondu à une convocation de la justice suite à l'application de la justice autochtone à l'encontre d'un dirigeant paysan faisant la promotion du projet routier devant traverser le Territoire Autochtone et Parc National Isiboro Sécure (TIPNIS). Ce projet mobilise le mouvement autochtone des Basses Terres depuis plusieurs années et est à l'origine de la rupture de l'alliance politique entre les organisations autochtones du pays et le gouvernement d'Evo Morales.

La Confédération autochtone de Bolivie (CIDOB) a organisé deux marches, en 2011 et 2012, pour tenter de mettre fin au projet. La première fût violemment dispersée par la police dans la localité de Chaparina. Cette intervention avait suscité de nombreuses condamnations tant nationales qu'internationales.

Ce mandat d'arrêt génère un vaste mouvement de solidarité envers les trois dirigeants appréhendés par la justice d'Etat. Des organisations autochtones et des organisations citoyennes veillent sur les locaux dans lesquels se sont réfugiés les trois dirigeants et font barrage à toute intervention policière.

Ci-dessous, la lettre de la COICA :

Non à la répression de la CIDOB, de ses dirigeants et de leurs droits

En tant que coordination articulant des confédérations nationales autochtones d'Amazonie de 9 pays sud-américains, la Coordination des Organisations Autochtones du Bassin Amazonien (COICA) condamne la répression politique et le mandat d'arrêt établi à l'encontre des dirigeants amazoniens Adolfo Chávez (président de la CIDOB), Pedro Nuny (Ex vice-président de la CIDOB) et Fernando Vargas (président de la Sous Centrale TIPNIS).

La répression à l'égard du mouvement autochtone amazonien se poursuit. Celle-ci a commencé avec l'imposition d'un projet de route ne bénéficiant qu'aux seuls producteurs de feuilles de coca et destructrice d'un million d'hectares de forêt. Elle s'est poursuivie avec la répression de Chaparina (marche autochtone de 2011 contre le projet de route devant traverser le TIPNIS), puis par la tentative gouvernementale de diviser la CIDOB, l'occupation depuis 2012 de ses locaux par un groupe autochtone de la CIDOB proche du gouvernement, par des actes d'intimidation auprès d'organisations ou de personnes soutenant la CIDOB. Le prétexte donnant lieu à ce mandat d'arrêt est l'application

Le prétexte cette fois est d'appliquer de manière indue la "justice ordinaire" à un cas de « justice communautaire » : le 20 juin, les autorités traditionnelles du TIPNIS (corregidores) réunis en cabildo ont appliqué la justice communautaire inscrite dans la Constitution (paragraphe I, article 190 : « Les peuples autochtones exerceront leurs fonctions juridictionnelles et leurs compétences à travers leurs autorités et appliqueront leurs principes, leurs valeurs culturelles, leurs normes et leurs procédures propres ») et dans la Loi 073 de « Délimitation juridictionnelle. Ces autorités ont jugé le producteur de feuilles de coca Gumercindo Pradel,  opérateur du Movimiento al Socialismo (MAS) et du gouvernement pour avoir négocié des parcelles individuelles dans l'expectative de la route comme il l'avait fait préalablement dans une autre zone du TIPNIS. Le Cabildo l'a sanctionné par quelques coups de fouet et un acte d'engagement à ne plus revenir dans le TIPNIS pour agir contre les organisations autochtones locales. L'accusation de « tentative d'homicide »  présentée par Pradel constitue une fausse accusation. Et le châtiment qui fût le sien n'est rien si on le compare au massacre (sic) de Chaparina de dizaines de femmes, d'hommes, d'enfants, d'adultes frappés, blessés, gazés et humiliés durant la répression de la 9ème marche de la CIDOB en défense du TIPNIS.

Les principes légaux qui octroient une égalité hiérarchique entre la justice autochtone et la justice ordinaire sont violés. Alors que le cas Chaparina reste impuni depuis deux ans, dans le cas Pradel, les mandats d'arrêt à l'encontre des dirigeants de la CIDOB ont été émis en 7 jours.  L'Ombudsman lui-même a signalé l'intromission politique et le non-respect de la justice autochtone et que le Tribunal Constitutionnel était la seule entité compétente étant en mesure d'examiner éventuellement le cas Pradel pour déterminer si ce dernier relevait de la justice autochtone ou de la justice ordinaire.

Nous travaillons actuellement à l'organisation d'une mission diplomatique autochtone internationale cherchant le dialogue avec le Président Evo Morales pour que cesse l'injuste persécution de la CIDOB. Nous invitons Mirna Cunnigam, la Présidente du Forum Permanent des Peuples Autochtones à l'ONU ; Gerardo Jumi, le Coordinateur général de la Coordination Andine des Organisations Andines (CAOI) ; Humberto Cholango, Président de la Confédération Nationale Autochtone d'Equateur (CONAIE) ; Adolfo Pérez Esquivel, Prix Nobel de la Paix et d'autres personnalités internationales à se joindre à cette mission.

Nous demandons le dialogue, la pacification et une solution politique parce que cette répression est inutile. La CIDOB résistera. La solidarité avec le TIPNIS ne va cesser de croître tout comme le rejet mondial face au refus d'engager un processus de décolonialité de l'État et de Plurinationalité inscrites dans une longue histoire des luttes autochtones et populaire en Bolivie.

Pour la Défense du TIPNIS, de l'Amazonie, de la justice autochtone et de la Constitution Plurinationale de Bolivie !

Le Conseil directeur de la COICA, le 25-07-2013

http://sogip.wordpress.com/2013/07/27/bolivie-la-coica-condamne-la-criminalisation-du-mouvement-autochtone



Bolivia: Criminal Charges Against Indigenous Leaders, Revelations of Police Infiltration Reignite TIPNIS Conflict

On August 6, the 188th anniversary of Bolivian independence, a traditional day of festive celebration was transformed into an act of protest [3] by indigenous groups in the Amazonian department of Beni, who demonstrated in the capital city of Trinidad with hands tied behind their backs and mouths covered with masking tape.

1958 Indigenous protest in Trinidad, Aug. 6. Credit: El Dia.The episode reflects renewed tensions over President Evo Morales's proposed construction of a highway through the TIPNIS indigenous territory and national park, as indigenous leaders face serious criminal charges over a recent community altercation.  Adding fuel to the fire, the government has recently aroused indignation by confirming that undercover police agents infiltrated the landmark 2011 anti-highway mobilization.

Anti-highway leaders Adolfo Chávez, Fernando Vargas, and Pedro Nuni are currently facing judicial orders of detention for alleged criminal acts, including attempted homicide and femicide. The accusations stem from an incident [4] last June 22 in the TIPNIS community of San Pablo de Isiboro, when Gumercindo Pradel, an indigenous leader who supports the road, was subject to a public community whiplashing.

Pradel, president of the indigenous authority CONISUR, represents government-allied factions in the southern portion of the park, mostly outside the collective land title, who are bitterly at odds with groups opposed to the road. The conflict between pro- and anti-highway sectors within the TIPNIS has intensified since the government's controversial consultation process [5] last year, which failed to reach consensus.  Several other CONISUR supporters were injured in the course of the confrontation, including a pregnant woman who subsequently aborted, providing the basis for the femicide [6]charge.

Pradel was allegedly in the process of convening an illegitimate assembly [7] in the TIPNIS, with the intention of ousting Vargas and other directors who participated in the anti-highway marches of 2011 and 2012.  Similar tactics have recently been used to divide the lowlands indigenous federation CIDOB, the Secure Subcentral indigenous authority within the TIPNIS, and other groups that are resisting the highway.1959 Community confronts Pradel (center). Credit: Samy Schwartz

The decision to punish Pradel, Vargas argues, was made democratically by consensus of the community assembly, in accordance with principles of traditional community justice [8] that are recognized by the Bolivian Constitution.  In addition to receiving his public punishment, Pradel was forced to sign a statement—which he later revoked—renouncing any further involvement in the affairs of the indigenous territory and his advocacy of the TIPNIS highway.  

The three leaders have refused to appear in court, considering their case to be outside the jurisdiction of the ordinary justice system.  Nuni and Chávez have denied being physically present at the incident in San Pablo, although they are accused of being the "intellectual authors" of the alleged crimes.

Supporters of the TIPNIS leaders defend their right to resist what they regard as a criminalization of protest.  Ex-human rights ombudsman Waldo Albarracín [8] argues that the practice of community justice to resolve internal disputes is consistent with tradition inside the TIPNIS.  In 2009, he notes, Marcial Fabricano, ex-leader of CIDOB, was whiplashed by the community for allegedly betraying the collective trust, with no subsequent intervention by the courts or the government.

1960 Adolfo Chávez, Pedro Nuni, Fernando Vargas. Credit: SomosSur.Since July 10, the 3 leaders have taken refuge at the headquarters of the TIPNIS Subcentral in Trinidad, protected by a round-the-clock vigil of indigenous supporters. Evidencing the new political alignment in Bolivia's eastern lowlands, on July 23 a civic strike [9] was convoked in solidarity by the Beni Civic Committee and local unions, with support from the current and former opposition governors of Beni and the Santa Cruz Civic Committee.  Historically, these opposition groups were allied with the conservative, pro-autonomy—and anti-indigenous—forces that rebelled against Morales in 2008.

The strike effectively shut down business in Trinidad for the day. The Beni Civic Committee has declared the defense of the TIPNIS to be its current regional priority [10].

Supporters of the TIPNIS leaders have contrasted the unprecedented swiftness of the justice system in bringing charges in this case with the snail's pace of the investigation into the police repression [11] of indigenous TIPNIS marchers at Chaparina nearly 2 years ago, for which no one has yet been formally charged or held accountable.

Meanwhile, government officials have identified an undercover female police agent who infiltrated the march and was present during the alleged "kidnapping" [11] of foreign minister David Choquehuanca the day before the Chaparina incident. The agent subsequently received a commendation for her efforts.  Based on video evidence, TIPNIS leaders charge that she acted as a provocateur, [12] inciting the aggression against Choquehuanca that precipitated the police repression.  The government denies these allegations, while confirming [13]that undercover agents were widely utilized during the TIPNIS marches and other recent mobilizations as a "preventive" measure.  The case is under investigation.1961 Police infiltrator and alleged provocateur (right). Credit: Eduardo Schwartzberg, La Razón.

The embattled TIPNIS leaders are now seeking a ruling from the Plurinational Constitutional Tribunal, Bolivia's highest court, to determine the applicability of community vs. ordinary justice to the charges pending against them.  Their efforts are supported by UN Human Rights representative Dennis Racicot [14], who has criticized the actions taken against Pradel from a human rights perspective, while arguing that the respective jurisdictions of the two justice systems established by the Constitution must be clarified.

Officially, the Morales government has sought to distance itself from what it characterizes as an unfortunate inter-community conflict.  "While others are fighting in the dirt down in Trinidad," Vice President Alvaro García Linera recently lamented [15]at a ceremony delivering public works to communities in the TIPNIS, "we are building a new school for children."

But critics hold the government squarely responsible for failing to resolve, if not exacerbating, the TIPNIS conflict.  As ex-deputy Guillermo Richter [16] recently noted, "To not have carried out the consulta at the proper moment, unfortunately, has brought us to this situation of permanent conflict.  (The government) has not responded or offered an alternative solution, which can't be other than dialogue."

Still, the government's much-criticized handling of the consulta, including its practice of distributing benefits to TIPNIS communities while soliciting their unbiased views on the proposed highway, has had some ironic consequences.  As TIPNIS leaders have noted, the outboard motors and telecommunications systems delivered to many communities were critical in getting their representatives to San Pablo last June to resist Pradel's attempted takeover.   "The motors that they gave us," says Fernando Vargas [17], "are helping to us mobilize the struggle in defense of our territory."

http://nacla.org/blog/2013/8/27/bolivia-criminal-charges-against-indigenous-leaders-revelations-police-infiltration-r



Dirigentes del TIPNIS pidieron asilo político

Los tres dirigentes del TIPNIS implicados en el caso Pradel pidieron asilo político en algunas embajadas radicadas en el país. Con este recurso, informó el dirigente indígena Rafael Quispe, se pretende evitar que sean detenidos por la Fiscalía.

"Ya hemos enviado las solicitudes; hasta que no haya una respuesta no vamos a decir el nombre de ninguna embajada", informó Rafael Quispe, responsable de Fortalecimiento Político de la Coordinadora Andina de Organizaciones Indígenas (CAOI).

El dirigente indígena aseguró que la medida protegerá a los dirigentes de las órdenes de aprehensión que tienen en contra."Hasta el momento (los dirigentes) están en Trinidad protegidos por los pueblos y no van a salir; parece que el Gobierno quiere jugar al desgaste y esto se ve en la persecución política que hacen con ellos; por eso vamos a ver que los hermanos se asilen en alguna embajada", afirmó el representante indígena.

Si alguna embajada acepta el asilo a los dirigentes, apunta Quispe, se afectará la imagen política de la administración del presidente Morales. "Si aceptan el asilo, puede ser un gran golpe al gobierno del MAS,  la imagen internacional puede caer".

En julio, la Fiscalía de Beni emitió órdenes de aprehensión contra Adolfo Chávez, Pedro Nuni y Fernando Vargas, acusados de haber golpeado al también dirigente Gumercindo Pradel en la comunidad San Pablo, en el Territorio Indígena Parque Nacional Isiboro Sécure (TIPNIS).

El miércoles 14 está prevista una nueva audiencia en el caso. "Tenemos entendido que la próxima audiencia va a ser el miércoles en la ciudad de Trinidad", anunció Melva Hurtado, dirigente de un sector de la Confederación de Pueblos Indígenas de Bolivia (Cidob). Espera que en esta  cita se avance sobre el caso.Justicia. Sobre la audiencia, Quispe reiteró la posición de los dirigentes acusados de no acudir a dicha convocatoria,  "no van a asistir a ninguna audiencia, ellos van a seguir ahí dentro del TIPNIS".

El representante indígena sostiene que los dirigentes del TIPNIS estarán refugiados en Trinidad hasta que el Tribunal Constitucional se pronuncie sobre la jurisdicción correcta a la cual deban someterse.

"Pedimos el recurso de incompetencia, porque la justicia ordinaria es la que ha emitido el mandamiento de aprehensión; (cuando) creemos que es competencia de la justicia originaria, este tema lo resolverá el Tribunal Constitucional", añadió.

Para definir la jurisdicción adecuada, la Ley 073, de Deslinde Jurisdiccional, determina los mecanismos de coordinación entre la justicia indígena originaria y la justicia ordinaria.

http://www.la-razon.com/nacional/Dirigentes-TIPNIS-pidieron-asilo-politico_0_1885611491.html


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lunes, 26 de agosto de 2013

Ecuador: Save Yasuni

Buenos días,

Para su información:

1. Video: CONAIE anuncia movilizaciones el 27 de agosto de 2013: http://www.youtube.com/watch?v=Ow9InT0CDQ8
2. Français: Procédure lancée pour une consultation sur Yasuni
3. Nederlands: Het einde van Yasuni
4. Español: Indígenas piden que se consulte al pueblo explotación del Yasuní
 



Procédure lancée pour une consultation sur Yasuni

Des associations indigènes et de défenseurs de l'environnement ont entamé jeudi une procédure visant à convoquer un référendum par initiative populaire sur la question de l'exploitation pétrolière d'une réserve réclamée par le président Rafael Correa.

Ces opposants au projet ont demandé à la Cour constitutionnelle de valider la question suivante: Etes-vous d'accord pour que le gouvernement équatorien maintienne indéfiniment sous terre le (pétrole) brut du bloc Ishpingo, Tambococha et Tiputini (ITT), connu comme le bloc 43?, a annoncé à la presse leur avocat Julio Cesar Trujillo.

En cas de validation par la haute juridiction, les promoteurs de l'initiative devront s'assurer du soutient de 5% de l'électorat du pays et dont présenter environ 600.000 signatures pour que le Conseil national électoral organise le référendum. Aucun délai maximum n'est prévu par la loi pour réunir ces signatures.

Le 15 août dernier, Rafael Correa avait demandé à l'Assemblée nationale (Parlement unicaméral) l'autorisation d'exploiter le pétrole à Yasuni, une importante réserve écologique d'Amazonie, après avoir constaté l'échec d'un appel de fonds international pour éviter l'extraction de réserves de 920 millions de barils de pétrole, représentant 20% des réserves de l'Equateur, le plus petit pays membre de l'OPEP.

Cette annonce a suscité l'ire de plusieurs ONG de défense de l'environnement et d'associations indigènes, et Humberto Cholango, président de la Confédération des nationalités indigènes de l'Equateur (Conaie), a immédiatement demandé une consultation populaire sur ce thème.

Samedi, le président a mis au défi ses détracteurs de réunir les 600.000 signatures nécessaires pour le référendum.

Le parc, limitrophe du Pérou, est une forêt tropicale humide qui a servi de refuge pour les animaux durant l'ère glaciaire. Il recèle actuellement un dixième des espèces de la planète, en raison de sa localisation entre l'Amazonie, les Andes et la ligne équatoriale, selon le centre de recherches de biodiversité Tiputini de l'Université San Francisco de Quito.

http://www.romandie.com/news/n/_Equateurpetrole_procedure_lancee_pour_une_consultation_sur_Yasuni61220820132249.asp?



Het einde van Yasuni

Donderdag avond maakte president Correa van Ecuador bekend dat hij definitief een einde stelde aan het veelbelovende Yasuniproject. Dat project beloofde de olievoorraden in de grond te laten op voorwaarde dat er internationale financiële steun zou komen ter compensatie van de gedorven inkomsten. Het project kon echter niet  op voldoende internationale steun rekenen, aldus president Correa.

Het exploreren en boren naar olie in het Yasunipark kan dus binnen enkele weken beginnen. Daarmee dreigt er een einde te komen aan een veelbelovend klimaatalternatief dat de steun genoot van het VN-Ontwikkelingsagentschap UNDP, schrijft MO*.

Het baanbrekende Yasuni project moest een groot stuk Amazonewoud in het Yasuni National Park beschermen tegen de oprukkende olie-industrie. In ruil voor het vrijwaren van dit stuk land, zou de internationale gemeenschap tot 2,7 miljard euro aan het land doneren in een fonds beheerd door de VN. De uiteindelijke som in het fonds kwam echter neer op 9,75 miljoen euro. Ondanks het feit dat er ondertussen al meer dan 225 miljoen euro beloofd was, laste Correa het project dan maar af. 'De wereld heeft ons in de steek gelaten,' merkte Correa op.

Dubbelzinnige Correa

Het falen van het initiatief is niet per se een verrassing. 'Het hele idee kwam van Alberto Acosta, de vroegere milieuminister, die al een tijdje niet meer in het kamp van de president, maar in de oppositie zit,' zegt Nick Meynen van de Noordelijke Alliantie voor Duurzaamheid (ANPED), 'Correa zelf heeft zich altijd ingedekt tegen deze mogelijke wending. In 2009 was hij er niet bij toen het principe-akkoord met het VN Ontwikkelingsprogramma (UNDP) getekend werd. Hij ging niet naar Kopenhagen, zorgde voor het ontslag van de buitenlandminister die het project overal ging verdedigen en heeft sinds 2010 in stilte al het nodige gedaan om snel tot olieontginning over te kunnen gaan.'

'Correa zelf is altijd heel bezorgd geweest dat het project promoten minder inkomsten voor de staat zou betekenen,' vult Patricia Verbauwhede van Broederlijk Delen aan. 'Het accent van Correa was altijd zijn sociale programma's kunnen financieren. Zijn relaties met de milieuorganisaties en de inheemse organisaties waren dan ook tijdens zijn presidentiële ambtstermijn zeer gespannen. De steun van Correa voor het project was nooit volledig gemeend.'

Hoewel Alberto Acosta degene was die het initiatief op tafel bracht, kwam het oorspronkelijk uit het middenveld – de milieubewegingen, de inheemse organisaties en de slachtoffers van de olie exploitatie. Met het idee een alternatief te vinden voor de boringen zonder hiervoor veel welvaart te moeten opgeven werd al jaren gespeeld.

Weinig buitenlands enthousiasme

De lauwe reactie van de internationale gemeenschap wekt ook weinig verwondering op. 'De globale mondiale crisis speelt natuurlijk mee,' zegt Verbauwhede, 'Ook de internationale respons op klimaattoppen en op de vraag financiële inspanningen te doen en de CO2-uitstoot aan te pakken is maar lauw. Men was ook bang dat alle landen met een olievoorraad met gelijkaardige eisen op de proppen zouden komen. Dit zou onbetaalbaar worden.'

Voor sommige landen voelde het project aan als een vorm van chantage. 'De grootste kritiek van bijvoorbeeld de Duitse minister van Ontwikkelingssamenwerking was dat men moest betalen om iets niet te doen – in dit geval olie opboren,' zegt Meynen, 'Hierbij ging hij wel voorbij aan het feit dat de koolstofmarkt exact hetzelfde doet: een som betalen om iets niet te doen – in dat geval broeikasgassen uitstoten.'

De verantwoordelijkheid voor het mislukken van het project ligt niet bij één instantie of persoon. 'Voor een stuk is de Ecuadoraanse regering zelf verantwoordelijk, omdat het zich niet ondubbelzinnig achter het initiatief gezet heeft,' zegt Verbauwhede, 'Maar ook de internationale gemeenschap heeft onvoldoende gereageerd om een stuk van het wereldpatrimonium te beschermen. Het stuk natuur mag dan wel fysiek binnen de grenzen van een land liggen, maar de meerwaarde en de ecologische winst die het gebied opbrengt, overstijgt de landsgrenzen.'

De toekomst van het project

De volgende stap is het goedkeuren van de resolutie van de president door het parlement. Het parlement heeft in theorie ook nog de kans het initiatief voor te leggen aan de bevolking in een volksconsultatie. 'Hier is echter niet zo veel hoop op,' volgens Verbauwhede, 'Het parlement wordt sterk gedomineerd door de partij van Correa. De Ecuadoraanse zusterbeweging van Broederlijk Delen, Acción Ecológica, heeft nu een open brief gestuurd naar het parlement om toch nog aan te dringen heel goed te overwegen hoe ze gaan stemmen.'

Dit is niet de enige vorm van protest. De CONAIE, de Ecuadoraanse inheemse koepelorganisatie, roept op om een volksraadpleging te organiseren. Er komt een grote manifestatie op 27 augustus. Ze zullen ook de hulp inroepen van de Interamerikaanse Mensenrechtencommissie en de VN opdat ze druk zouden uitoefenen om de volksraadpleging door te laten gaan. Ondertussen zijn er al een aantal kleine betogingen geweest. De vraag is natuurlijk of deze protesten veel succes zullen oogsten.

'Om nog iets aan de situatie te veranderen, zouden de Ecuadoranen – mét internationale steun – toch wel een enorme inspanning moeten leveren. De president werd in februari herkozen en tenzij er nog mirakels gebeuren lijkt deze president niet van plan te zijn de beslissing terug te draaien. Er kan altijd een miljardair of een overheid met schuldgevoelens op de proppen komen met een bom geld,' zegt Meynen, 'maar dat is meer voer voor sprookjes dan een realistisch scenario. Meer realistisch, helaas, is te concluderen dat een zeer innovatief en belangrijk initiatief om op een nieuwe manier tot een oplossing van onze gezamenlijke milieuproblemen te komen voorgoed van de baan is. De rijke vervuilers hebben de kans gekregen om een stukje van hun klimaatzonden af te kopen, maar verder dan een paar mooie woorden zijn ze niet geraakt.'

Patricia Verbauwhede ziet een minder grimmige toekomst: 'Het project vond een grote weerklank in andere landen. In Ecuador zelf heeft het gezorgd voor een bewustmaking bij de bevolking, waardoor er meer verzet zal komen als er verder wordt ingezet op het boren naar olie in kwetsbare gebieden.'

Nu het project afgelast is, krijgen de donorlanden hun reeds gestorte geld terug. Dit was één van de voorwaarden van het garantiefonds. Als Ecuador weer begon te boren, moest het het geld terugstorten.

http://www.viceversaonline.nl/2013/08/het-einde-van-yasuni/



Indígenas piden que se consulte al pueblo explotación del Yasuní

Los sectores indígenas del Ecuador proponen al Gobierno del Ecuador consulte al pueblo si cabe o no la explotación en los campos Ishpingo, Tambococha y Tiputini del Parque Nacional Yasuní, ubicado en un sector de la Amazonía considerado uno de los de más alta concentración de biodiversidad y Reserva Mundial de la Biósfera.
 
Carlos Pérez,  presidente de la Ecuarunari,  dijo que los pueblos indígenas  están opuestos a la explotación de esta reserva ecológica, pero que para que el Gobierno no diga que son solo los indígenas, retan al presidente Rafael Correa a que consulte al pueblo.
 
Bartolo Ushigua, como presidente encargado de la Confederecaión de Nacionalidades Indígenas del Ecuador (Conaie) aseguró, por su parte,  que en esta zona se puede hacer otro tipo de explotación como es la de plantas medicinales.
 
Por otro lado, el canciller Ricardo Patiño aseguró que lamenta que la comunidad internacional no se haya hecho eco de esta iniciativa y que el presidente Rafael Correa hará un pronunciamiento oficial sobre el tema mañana a las 20:00.

http://www.lahora.com.ec/index.php/noticias/show/1101548943/-1/Ind%C3%ADgenas_piden_que_se_consulte_al_pueblo_explotaci%C3%B3n_del_Yasun%C3%AD_.html#.UhtlOX9y2TN
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sábado, 8 de junio de 2013

CITE LA LIBERTAD: CONVOCATORIA CONGRESO DE LA CITE

                  Trujillo, 03 de Junio del 2013.

 

Oficio Circular Nº 014 -2013-CER-CITE-LL

Señor (a) (ta):

Secretario (a) General del Sindicato de Trabajadores ______________________

____________________________________________________________________

 

ASUNTO: IV CONGRESO REGIONAL, 03 DE JUNIO,

 

Es sumamente grato, dirigirnos a usted y afiliados de su base, para expresar el saludo institucional de la COMISION ORGANIZADORA DEL IV CONGRESO REGIONAL de la CONFEDERACION INTERSECTORIAL DE TRABAJADORES ESTATALES LA LIBERTAD – CITE-LL y a la vez comunicarle, que:


La decisión del Ejecutivo y bancada nacionalista de pretender aprobar el Dictamen de Ley del   Servicio Civil violando nuestros derechos debía ser enfrentada con FIRMEZA y CONTUNDENCIA que remeciera los cimientos del gobierno para una pronta solución; por ello la estrategia de lucha planteada de realizar una HUELGA NACIONAL corta, pero CONTUNDENTE, fue comprendida por dirigentes y trabajadores de las bases ediles y estatales de todo el Perú. Así las 25 regiones iniciamos la HUELGA NACIONAL ESTATAL con acciones inéditas, no tradicionales en el sindicalismo estatal, con plantones en el Puente Moche y la Panamericana Norte de la ciudad de Trujillo, el aeropuerto en Iquitos, cierre de la carretera en la Oroya, cierre de la vía los Libertadores, cierre de puentes en Piura, cierre del túnel de Coishco en Chimbote, toma de la Gobernación en Arequipa, la naturaleza de estas acciones hizo que la prensa nacional las difundiera por iniciativa periodística sin tener que recurrir a los medios, permitiendo al Comando Nacional de Lucha mejores condiciones para la  gestión parlamentaria en el  Congreso; con las bancadas y Comisiones de Presupuesto y Trabajo, responsables de dictaminar el Proyecto de Ley del servicio Civil para que el pleno al momento del debate y aprobación, comprendan la necesidad de que la Reforma del Estado, si debía de ir, ésta debería ir con RESPETO A LOS DERECHOS LABORALES.


La contundencia de los 2 días de HUELGA NACIONAL permitió que la gestión parlamentaria del Comando Nacional de Lucha sea fructífera con acceso a las Comisiones de Trabajo, Presupuesto, y acceso directo a la Bancada de Perú Posible a través de la destacada actitud asumida por el Congresista por Puno, Mariano Portugal, vocero de esta agrupación política, quien como vocero no avaló con su firma el inicio del debate hasta que la Comisión de Trabajo concluya su Dictamen, esencial para el debate del pleno, por cuanto a diferencia del Dictamen restrictivo de derechos de la Comisión de Presupuesto, del contenido del Pre Dictamen de la Comisión de Trabajo fluye el  respeto a los  derechos de estabilidad, negociación colectiva y derechos económicos adquiridos.


Las consecuentes y unitarias acciones nacionales de lucha, incluidas las realizadas frente al Palacio de Gobierno, con 12 compañeros detenidos en seguridad del Estado, hicieron posible que la Bancada de Gana Perú por indicación del Presidente de la República nos convoque a través de su vocero, el Congresista Jaime Delgado a una sesión a las 3 pm, con la bancada nacionalista concordando, que el Dictamen de la Comisión de Presupuesto violaba nuestros derechos y debía ser discutido ampliamente con representantes de las centrales sindicales, por ello, oficialmente quedó establecido que el Dictamen no sería tratado en el pleno del 30 de mayo..


Esta nueva victoria táctica fortalece no solo nuestra posición de justicia y respeto al Estado de Derecho avalada por la OIT, la oposición parlamentaria y parte de la bancada oficialista, también fortalece el  sindicalismo nacional estatal  ubicándolo en estándares superiores de lucha y defensa laboral. En tanto el sindicalismo se fortalece, se debilita la posición del gobierno, toda vez que por la cercanía con el poder legislativo, denotamos que no solo la oposición parlamentaria está en contra del Dictamen vejatorio de derechos, sino la propia bancada nacionalista está dividida, esta percepción, pone en ventaja a la representación sindical en la Mesa de Trabajo con la Comisión de Trabajo.


Por las razones expuestas, y siendo necesario fortalecer la organización unitaria de los trabajadores estatales y de acuerdo al cronograma, se CONVOCA AL IV CONGRESO REGIONAL de la CONFEDERACION INTERSECTORIAL DE TRABAJADORES ESTATALES LA LIBERTAD – CITE-LL en la que se eligirán a los nuevos dirigentes que encamine a nuestra confederación, el mismo que se llevará a cabo el día Sábado 15 de Junio del presente, a horas 9 a.m., en Calle Chira N° 135, de esta ciudad, Local del SUTE La Libertad con la siguiente Agenda:

-       Informe Nacional

-       Informe Regional

-       Acciones

-       Debate

 

Que, siendo necesario cubrir gastos de traslado, alimentación y otros de dirigentes nacionales que harán su informe y de organización, es que nos vemos en la obligación de solicitar el apoyo de S/. 20.00, por base sindical participante

           

Sindicalmente


COMISION ORGANIZADORA DEL IV CONGRESO REGIONAL DE LA CONFEDERACION INTERSECTORIAL DE TRABAJADORES ESTATALES LA LIBERTAD – CITE-LL

 

 

            JOSE ROJAS ESPINOZA                                            VICTOR TORRES GRADOS                       PRESIDENTE                                                                        SECRETARIO

 

                                               FRANCISCO LEONARDO RODRIGUEZ                                                                                               VOCAL

 








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viernes, 8 de marzo de 2013

COMISIONES AFP



From: carlos enrique alva jara <carlosalva80@hotmail.com>
Date: 2013/3/7

Por favor transmitan este comunicado.

Membrete-CITE 2007COMUNICADO

La Asociación Nacional de Trabajadores Afiliados a la AFP y la Confederación Intersectorial de Trabajadores Estatales del Perú, hace de conocimiento a los trabajadores afiliados a las AFP, que hasta el 31 de Marzo, deben de acercarse a la AFP que perteneces para indicar si se mantienes en la comisión por flujo o desean pasar a la comisión por saldo, en caso de no hacerlo pasaran a la comisión por saldo para, para lo cual hacemos de su conocimiento lo siguiente:

    

COMISION POR FLUJO.- Denominada así a la COMISION ADELANTADA, a la comisión que pagamos actualmente, que es el 2% (aprox.) de nuestra remuneración bruta, o el 20% (aprox.) de nuestro aporte a las AFP, se denomina por flujo o adelantada, por que al momento de recibir nuestra remuneración, al mismo tiempo pagamos nuestro Aporte 10% del total de la remuneración, el Seguro 1%, y también pagamos la comisión el 2%, es decir antes de que nos den el servicio ya hemos pagado la comisión, por ello se llama ADELANTADA, por que la pagas antes, sin saber el resultado, ganes o pierdas, como sucedió en el año 2008 que nuestros fondos perdieron alrededor de 30,000'000,000 o en el 2010 y 2011 que nuestros fondos se redujeron en 20,000'000,000 sin embargo pagamos comisiones en el 2011 por 970'000,000, en el 2010 840'000,000, en el 2009 750'000,000, sin embargo, este modelo de comisión, favorece a quienes no trabajan o dejaron de trabajar pues como han pagado una comisión de flujo o adelantada la AFP a que pertenecen esta en la obligación de seguir generándote utilidades a tu fondo, así ya no pagues comisión por que ya la pagaste de manera adelantada. Cabe indicar que a partir del mes de mayo, la única AFP que recibirá a los nuevos afiliados al Sistema Privado de Pensiones (SPP) será Habitad que cobrara una comisión de flujo del 0.45% de tu remuneración bruta.

COMISION POR SALDO.- Es nueva modalidad de comisión en el SPP, se denomina también COMISIÓN POR RESULTADOS, que consiste en que la AFP te generara utilidades en tu fondo y posteriormente te cobrara la comisión es decir si no te genera rentabilidad no te cobrara comisión, y de generarte si, consecuentemente si el afiliado no trabaja o deja de trabajar seguirá pagando comisión.

Si hasta el 31 de marzo del presente, el afiliado no se acerca a su AFP, a señalar si desea mantenerse en la comisión de flujo o saldo, la AFP esta autorizado a cambiarlo a la comisión por saldo, es decir quienes se queden en silencio pasaran a la comisión por saldo, es decir trabajen o no seguirán pagando comisión.

Nadie puede garantizar cual comisión va a generarle mayor rentabilidad a su fondo, lo que como dirigentes tenemos la obligación de orientar es en cual podemos pagar menos comisión lo cual es incierto.

Si bien es cierto lo señalado anteriormente es lo mediático se puede indicar que esto es un problema de forma, el problema trascendental o de fondo es que hasta ahora a las AFP, solo les interesa captar afiliados, y al afiliado con cierta desesperación busca des afiliarse, en ambos casos sin ninguna adecuada instrucción u orientación, para que el trabajador decida lo mas adecuado y pueda tener una decisión que lo conllevara a una mejor pensión, podemos orientar lo siguiente:

Membrete-CITE 2007

-          El afiliado a las AFP, en primer lugar debe conocer si su institución paga a las AFP su aporte y de no hacerlo exigir su cumplimiento, debe tenerse en cuenta que las municipalidades en el país deben mas de 1'600,000 de soles, deuda de aporte que han generado los intereses por las utilidades que han dejado de percibir los fondos 

-          El afiliado debe saber a que fondo pertenece por que de acuerdo a ello tendrá rentabilidad de acuerdo a la inversión de su fondo: fondo 1 se invierte hasta el 10% de su fondo, fondo 2 se invierte hasta el 40% de su fondo, y el fondo 3 hasta el 80% de su fondo

-          El afiliado debe saber con exactitud su fundo que es la suma de sus aportes mas el bono de reconocimiento si lo tuvo, mas las utilidades generadas a la fecha

-          El afiliado debe saber cuanto significo su bono de reconocimiento y cuanto lo genero su rendimiento, si no hubo tal transferencia del bono de reconocimiento, generarlo inmediatamente, pues ello no esta generando rentabilidad a la fecha y consecuentemente el no incremento en su fondo.

-          El afiliado debe saber, que para des afiliarse a la AFP y pasar a la ONP, debe tener como mínimo 20 años de aportes y 50 años de edad como mínimo

-          El afiliado debe entender que en la ONP tendrá una pensión mínima de S/. 416.00 y máxima de S/. 860.00, para que tenga una pensión mínima debe haber aportado 20 años y para que tenga una pensión máxima mas de 30 años de aporte, es decir si el trabajador tiene 51 años de edad ya no puede afiliarse a la ONP, por que hasta los 70 años de edad en que se jubilara, solo llegara a aportar 19 años a la ONP por debajo de los 20 años como mínimo de aportes

-          Para que el afiliado a la AFP, tenga una pensión similar a la pensión máxima de la ONP S/. 860.00 debe tener un fondo al jubilarse de S/. 144,000.00

-          El afiliado a las AFP, debe saber también que tiene derecho a Pensión de Sobrevivencia, la Cónyuge o concubino, los hijos menores de 18 años o inválidos mayores de 18 años, el padre y/o madre inválidos o que tengan mas de 60 años y que hayan dependido económicamente del causante; con la siguiente pensión sobre la pensión total del afiliado pensionista: 42% Cónyuge o concubina sin hijos, 35% cónyuge o concubina con hijos, 14% por hijo menor de 18 o incapacitado y 14% padre o madre incapacitados o que tengan 60 años y hayan dependido, situación que es legal por que así esta normado pero que a su vez la consideramos injusta por es el dinero del afiliado, producto de sus aportes y de la rentabilidad generada. En el caso de la ONP la Pensión de Sobrevivientes. La pensión de viudez, cónyuge inválido o mayor de 60 años a cargo siempre que el matrimonio se hubiera realizado 1 año antes del fallecimiento salvo que tengan hijos, el calculo del monto de la pensión: 50% de la Pensión del titular, si es incapacitada se otorga 1 remuneración mínima vital (caduca si la viuda o el viudo se vuelve a casar = 12 pensiones), se otorga a hijos menores de 18 años, hijos mayores de 18 en estudios superiores, hijos mayor de 18 incapacitados para trabajar; con la siguiente pensión: 20% de la pensión del titular, si es Huérfano de los 2 padres 40% , si requiere asistencia por incapacidad se otorga 1 remuneración mínima vital, ustedes saque sus conclusiones cual es mas beneficioso para el conyugue viuda o viudo.

 

Membrete-CITE 2007

-          El afiliado debe saber si el afiliado tiene una remuneración reducida su fondo será reducido, si tiene pocos años de aporte pero mas de veinte, su fondo es reducido y poca remuneración, si esto sucede y le faltan pocos años para jubilarse entonces de hecho debe pensar en desafiliarse y pasar a la ONP, mas aun si la institución no ha pagado los aportes

-          Si el trabajador tiene buena remuneración pero resulta que un gran porcentaje es no pensionable como bonificaciones no pensionables, entonces también tendría un fondo reducido

De lo señalado anteriormente no queremos decir que deben desafiliarse inmediatamente por que esto es un tema de evaluación de manera individual, que para una adecuada orientación, el afiliado debe conocer certeramente, lo siguiente:

-          Cuanto tiene de fondo

-          Cuantos años le faltan para jubilarse

-          Poder hacer un pequeño calculo en base a su aporte más el incremento entre el 4% o 6% de rentabilidad anual, que es lo que aprox. Han dado como rentabilidad las AFP atreves de estos años, no se puede calcular exactamente una rentabilidad futura, porque no es predecible

-          La desafiliación dura entre dos a tres años, por lo que el afiliado que aun le falta años para desafiliarse, de acuerdo al tiempo que le falta se le recomienda esperar, por ejemplo un trabajador con 50 años de edad y 70,000 soles de fondo, no le podemos recomendar que se des afilie por que aun le falta 20 años de aportes y consecuentemente desconocemos su rentabilidad por lo que desconocemos cual será su fondo real lo ideal seria superar los 144,000 soles de fondo

En conclusión el dirigente sindical debe ser un orientador eficaz para orientar eficientemente a los trabajadores de su base, y poderles dar tranquilidad y bienestar al momento de jubilarse y poder tener la mejor pensión.

 

CARLOS E. ALVA JARA

Presidente de la Asociación Nacional de Trabajadores Afiliados a la AFP

Secretario Nacional de Defensa CEN - CITE

 

 

    

 

     

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